¿Que sigan en la guerra?

¿Que sigan en la guerra?

ORLANDO PARRA G.

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PobreEl mejor 

En Uruguay, 5 intendencias de 19, comenzando por la capital Montevideo, gobernada por la comunista exguerrillera -al igual que el Presidente de la República Uruguaya- Ana Olivera, tienen alcaldes de Izquierda; en Brasil, de las 100 ciudades más grandes 28 son gobernadas por alcaldes de izquierda (PT) y una por un comunista, su actual Presidenta también fue guerrillera; En Chile 147 de los 345 alcaldes son de izquierda, o centroizquierda (algunos ex combatientes de la guerrilla comunista del Frente Patriótico Manuel Rodríguez, a la cual estuvo cercana la expresidenta Bachellet); etcétera, etcétera.

¿Por qué entonces tanta animadversión de ciertos sectores con el alcalde de Bogotá, a pesar de su 70% de popularidad? ¿Popularidad = Pueblo = “¿la Guacherna ala”?

Jamás he portado ni disparado un arma. Como la mayoría absoluta de los colombianos, detestamos la violencia, nos causan escozor los violentos con el nombre que tengan y los preferimos a todos en paz. Quien haya violado los mínimos humanos que tiene la guerra: una cosa es disparar o apuñalar al rival armado, y otra torturar, otra violar, otra masacrar civiles, otra destripar personas vivas con motosierra, etc (Memoria! http://ow.ly/8UfNS y http://ow.ly/8UfSq); quien los haya violado ¡que pague! Pero eso se aleja de creer que nunca nos vamos a reconciliar con quienes estuvieron ¡en una de nuestras jijuemil guerras! ¿O los preferimos disparando y apuñalando? ¿O violando el DIH? Ahora bien, si somos incapaces de reconciliarnos con ellos, entonces ¡que siga la guerra enriqueciendo a algunos! ¡Sigan los 60 mil millones de pesos DIARIOS que se desperdician en ella! (http://ow.ly/8UgTu)

La ley de víctimas convoca este año a todo desmovilizado después de 1989 a “enaltecer la memoria de sus víctimas” mediante la “satisfacción y reparación simbólica”...”o compensación moral necesarias” (http://ow.ly/8Vzec ). Sí. Incluso todo actor de grupo armado que haya violado el Derecho Internacional Humanitario, debería recibir, mínimo la muerte política. Tal cual le sucedió al legendario Joaquín Villalobos en El Salvador, donde tienen Presidente del partido fundado por las guerrillas…(¡sí!¡otro! )

Navarro perdió una pierna en un fallido proceso de paz, luego se desmovilizó y cuando mataron a su comandante Pizarro pudo haber dicho: ¿cuál reconciliación? ¡a la guerra! Pero se quedó en el camino democrático, ha sido Ministro, Constituyente, Parlamentario, Gobernador (¿tiene alguna condena por violar el DIH? creo que NO), el Señor Petro es similar…y hay desmovilizados de siete y más grupos guerrilleros… y de autodefensas –¡sí también ellos!-.
Obviamente los señores quieren alcanzar por las buenas, democráticamente, el poder político, hasta la Presidencia...unos han pasado al clientelismo y corrupción tradicional, pero la mayoría lo han hecho bien. Entonces están en todo su derecho. Son ciudadanos y ciudadanas normales.  Repito la pregunta ¿nos reconciliamos con los señores? ¿Ó los devolvemos a la guerra? ¿ Ó los matamos o  nos matan? …a propósito: ¿cierto que usted tiene familiar soldado o policía?

 en http://www.latarde.com/opinion/columnistas/55374-ique-sigan-en-la-guerra.html 

Colombia «J'ai rencontré le mal"

Texte original en http://www.semana.com/nacion/conoci-maldad/171934-3.aspx
Traduction mécanique avec http://translate.google.es


Témoignage de SEMANA  publie le témoignage d'un ancien combattant qui a la cruautéincroyable avec laquelle Hector Buitrago et ses fils, Martin Llanos et Knight, armés l'un des principaux groupes paramilitaires dans le pays. Les recrues ont été contraints de Peck 'des corps et les ont tués dans la pratique.


Je suis né à Puerto Gaitan, Meta, en 1985. J'ai grandi aux travaux agricoles. J'aime les animaux. La ville presque n'aime pas. Quand j'avais 7 ans je suis allé à l'école et à 9 je suis parti. Je ne pourrais jamais rattraper. Lorsque j'avais environ 15 ans je suis devenu un cow-boy. Jusque-là, je n'avais jamais vu la violence.J'ai commencé quand je suis allé voir ses bras et je savais le mal. J'avais 16 ans. Je n'avais jamais désiré. Mais un regard à l'autre avec un fusil et dit: «Regardez comment lisse remporté l'argent et regardez comment je dois travailler pour moi." Enfin, j'ai décidé et s'en alla, pensant que le travail était plus doux, une bonne vie, et seulement carabine propre là-bas. Mais lorsque la formation a commencé, les choses étaient très différentes de ce que j'imaginais.Au cours miennes étaient 220, dont 15 femmes. Beaucoup de gens pleuraient parce qu'ils avaient été amenés dans la nuit. Casanare pris comme 150, la plupart du temps par la force. Après ce cours était lorsque l'organisation a commencé à croître à Meta, parce que quand je suis arrivé, il n'y avait que 180 hommes de Buitrago. Buitrago était le père, Don Hector, et ses deux fils, Martin (Llanos) et le cheval. Dès que deux ou trois ans pourrait venir d'avoir environ 5.000 hommes. Je dis cela parce que quand je suis devenu commandant de la contre-insurrection, nous a accueilli à 100 ou 200 commandants et commandant en second et un contre-insurrection est de 40 hommes. Mais, tout comme je suis entré dans les gens, se mourait.FormationDans la formation que la plupart a attiré mon attention, qui a tué le cours. Il a duré un mois.Il était à The Stumble, sur le côté de Saint-Martin. On en arriverait booléenne plomb beaucoup plus. Si vous n'avez pas exécuté l'ont tué. Deux mouches peladitos dormaient et les ont tués. On était 17 et 25. Nous avons eu à courir en zigzag dans un parcours d'obstacles et nous tirer vers le haut.Cela devait commencer quatre jours de formation. Il a été terrifiant. Tout ce que je savais que je ne rentre pas. Quand on va devenir aveugle, ne pas obtenir des conseils de personne, et quand il pense différente est là, mais ne peut pas sortir.Dans la formation d'un total d'environ 15 ans sont morts. Pour un Chinois a été tué dans une rivière. Il était nu j'ai eu une très bonne performance, et décente. Les commandants voulait coucher avec elle et elle dit le commandant alias 800 qui elle ne venait pas au lit avec l'autre. Il a dit: "Il y voir." Elle se leva et à gauche. Le lendemain, nous avons joué "pasopista» (parcours d'obstacles). Quand elle passait le reste de Manille sur la rivière, il est tombé. Le commandant lui a ordonné de tuer parce qu'il n'a pas exercé.D'autres ont été tués parce qu'ils ont servi. Les gens qui sont venus avec un pied baisée et ne pouvait pas l'équipement boliar, par exemple. Pour ces personnes, le arrumaban sur un ranch pour faire cuire, en leur disant qu'ils allaient battre en retraite et c'était un mensonge, l'iban iban tirant et tuant. Il y avait un monsieur de 40 ans qui a eu mal à la jambe. Et un jour ils ont appelé, ils tueraient une vache. Et la vache, c'était lui.En d'autres cours, il a commencé à croître de l'organisation, on regardait un jour qui a eu un petit groupe de dix garçons tous censés maigres pour un entraînement et ne pas revenir trois ou quatre.Un grand nombre de l'ordre hiérarchique de ne pas ouvrir un grand trou. Je n'ai jamais quiconque piqué. Quel est plus pâle en ce qu'elle touche. La première chose qui a piqué mon cours je suis venu pour les femmes. J'ai touché sa côtelette bras bras. Certains ont été jetés à défaillir. Mais il y avait pas de savoir si le veuille ou non. Ils jouent tous ou ne meurent pas. L'instructeur a enseigné que même militaire. Tué à l'endroit où l'on dirait "retirer un bras», «Prenez une jambe", elle a décollé avec Cleaver, ont été de retirer les os et les jeter dans la rivière et d'autres ont été enterrés. Le bras, il partit en deux partiesAu moment où il tourne à vous en tant que un frisson à travers le corps, mais la gousse est qu'il ne sera pas envoyer un parce qu'il est plus difficile que l'on pourrait le toucher. Parce que si vous voyez d'autres ne, fait. La première fois que nous étions là à regarder tous les quatre chicoteando pelées. Tous les silencieux, parce que personne ne peut dire quoi que ce soit. Quelques-uns guettaient parce qu'ils n'étaient pas l'impression. Mais la chose est incroyable, c'est le début, parce qu'après revenir comme: très fréquent. Et on le prend comme si despresando une vache. La seule chose que vous pensez, après vous n'avez pas vous tuer.Certains cours ont également pu essayer de les la chair humaine. Dans la mienne non. Je l'ai essayé et puis par curiosité. Un commandant qui a travaillé avec nous a dit, mettre un morceau de viande pour essayer. Le garçon avait été tué parce qu'il avait été insubordonné envers un commandant. J'ai mangé et goûté normale. C'est frit. Après que je n'ai pas vu cela.Que parfois tourné un recocha très étrange. En outre, recocha, a commencé à prendre du sang. Il suffit de couper à la population et des ruisseaux de sang et de mettre la main et il a fallu."La folie"Pour toutes ces morts, a commencé un bowling très sanglier. Les gens aiment ce que ils ont eu le diable et a commencé à gâcher. Ils se jetèrent contre les arbres pour tuer et quand ils se réveillèrent, a demandé "ce qui s'est passé?" N'a pas se souvenir de rien.Comme les âmes qui sont laissés de ces organismes, qui sont licenciés et les esprits sont en vol stationnaire. Et ce fut ce qui les a avec les gens. J'ai paniqué parce que je pensais que seul existait à la télévision quand vous regardez les fantasmes, mais ici on voit de ses propres yeux.La dernière fois que j'ai regardé qui était dans le Casanare, qui est arrivé à trois ans. Il a été en 2004, j'ai commencé à six heures l'après-midi jusqu'au 12 la nuit et a dû les attacher et de les jeter à un courant d'eau froide. Là, ils ont emmené la folie. D'abord, ils évanoui, et quand soulevé, c'était comme une horreur et un porteur de ballon jusqu'à ce qu'ils tombent à nouveau, et quand ils sont retournés en se demandant ce qui s'était passé. Laissez aller rire comme un homme. J'ai dû prendre une semaine complète en prenant soin de huit femmes. Jamais tué, mais est tombé en panne beaucoup.Et après cela était chose courante. Quand quelqu'un lui a donné dit: «Allez, l'attacher, et lors de la suppression de la folie qu'il lâche et prêt."EnfantsIl a été rarement parlé. On ne pouvait pas parler parce qu'il a été dissocié. Une seule demande pourquoi il était venu. Un collègue de 14 ans m'a dit qu'il était venu parce qu'il aimait les armes. D'autres ont eu des ennuis avec la loi ou n'ont pas eu le travail aux armes et a cherché à obtenir de l'argent pour la famille. Et il y avait beaucoup de ceux qui ont été induits en erreur sur les recruteurs ou mauvais. Ces recruteurs ont été payés 200 000 $ pour chaque Chinois ont amené. Ils ont dit qu'ils allaient travailler sur une ferme ou mettre en place avec la faim convaincu, il est facile dans la rue. Il y avait quelques enfants qui ont vendu des bonbons dans le centre de Bogota et avait apporté. Quand ils sont arrivés là, ils réalisé. Ils se sont assis pour pleurer. Après avoir été un peuple libre d'être sous contrôle, qui est très difficile.Le moins que l'j'ai eu était de 13 ans. Un éminent chinois, parce que le nu peu plus que le vieux guerrier, est prêt à tuer n'importe qui, plus pratique pour se battre, même si elle n'a pas les aptitudes bientôt parce que c'est une personne qui n'a pas vu quoi que ce soit dans le monde. Bien qu'il ait recruté, la plupart des enfants que j'ai rencontrés il jouissait de la guerre.CocaLorsque nous avons terminé la formation et de jurer et de jeter un drapeau à la contre-insurrection. J'ai eu à faire des choses bonnes et mauvaises. Fatigué de mes choses de la vie ont changé, la mentalité va changer beaucoup. J'étais dans un régime dans lequel ce qu'il a dit qu'il fallait. Aujourd'hui quelqu'un élève la voix ou va pousser autour, on ne va pas partir, parce que la mentalité de l'un est plus que l'autre limite.Le commandant signalé aux employeurs, Don Hector et le cheval, l'autre son fils. Parce que Martin a envoyé à Casanare et Meta Knight envoyé avec son père.La devise est de se battre, nettoyer la zone, mettre les personnes civiles à côté de nous, et n'avait pas infiltré par la guérilla dans les zones où nous étions. Mais après la cocaïne était idéal, et que nous nous soucions de ce que. "Pour un essai gratuit en Colombie" (slogan de la légitime défense), mais après la cocaïne était idéal.Nous étions dans Mapiripán, Meta, à la Coopérative. De là, nous avons joué pa'lante la lutte avec la guérilla. Celui qui prend soin de la base, l'achat de la même organisation et il est passé à traiter et enlevé. Une lutte contre la guérilla, mais toujours se soucie de la zone de culture du cocaïer. Nous avons joué sur les expéditions. Le compteur est la lutte pour défendre la région. Vous vous rendez compte ce qui a attiré les gens. Entré un camion transportant des bananes et cinq sacs d'argent et il ya chinoise qui la gardent, tout en achetant de la cocaïne.Le contrôleQuand il était déjà 17 ans, et a passé sept mois dans l'organisation, j'ai reçu un commandement d'un peloton (était dix). J'ai dû amener les gens de 40 ans et vous regardait comme une tarte. Dans un premier temps j'ai eu mes prix par la nacelle. Pour un peuple si jeunes et plus âgés que vous envoyez. Vous lorsque le commandant pense que la lutte, parce qu'il traumatise un peu pendant que vous prenez la photo, mais le reste est envoyé, moi aussi et ainsi apporter de l'eau, apporter de la nourriture. Un commandant ne fonctionne pas, attendez simplement que le fil rouge. Apporter une aide alimentaire à l'ancienne. Il ya des hommes âgés qui étaient en prison, parce que c'est Maluco parce qu'un envoi culicagado.Physiquement ne s'est pas entraîné. Il a pris du poids. Mais au moment des opérations a été de nouveau faible, parce que perdure faim.La guerreBattre, se battre, je n'ai jamais mis son visage qui était comme en Avril 2002: le crochet, qui étaient de durs combats, cette fois nous avons tué trois Chinois, et sept blessés, et il n'y avait rien guérilleros. La lutte encore duré toute la journée, un ici et un là-bas, la pompe après, les bouteilles, les grenades, il jette un guérillero. Nous faisions quand nous nous précipitons en opérant avec eux et nous a duré environ quatre jours de combat. Le crochet de la Coopérative est en baisse. Ensuite, nous avons tué et quatre autres, et ensuite seulement des blessés, parce que nous retiré. Nous avons vu très harcelés parce que plus il y avait beaucoup de guérilleros. Lorsque les combats un après-midi sous forme de poudre sèche pour l'ensemble.Ce site est important car il va redescendre, avait fatigué de la coca, c'est de prendre la terre et les sites où la drogue, parce que c'est où va l'argent, il a lutté pour que la matière, et que les guérilleros sur il était très cumulatif.Dans les quatre ans, j'ai été dans les bras de cette taille comme je l'ai eu quatre combats, ayant ces deux, mais les disques durs, pour des combats courts étaient une dizaine.Ceux-ci étaient la lutte contre la guérilla, qui étaient jusqu'en 2003 et jusqu'en Juin.Puis ils ont commencé à lutter contre les Centaures (Centaures Bloc, Miguel Arroyave, avec laquelle l'ASC de Casanare mené une guerre sanglante). Urabeños leur a dit qu'ils étaient d'Uraba.Cette bagarre a éclaté, dans la mesure où les gens parlent, était pour le pouvoir: la terre d'autres demandé Don Hector, et le coca. Cela Arroyave avait des liens avec John 40, la guérilla (avant 43 des FARC dans le Guaviare). Martin avait environ quatre rencontres avec l'homme et l'homme ne donnerait pas po C'était en 2003 et ne pouvait pas fixer et déclara la guerre. Tant de gens sont morts et rien n'a été fait.Le dernier combat était comme en 2005, en Juillet. Étaient âgés de 18 mois de la guerre plus difficile. Une guerre entre les paramilitaires et les narcotrafiquants étonnantes. Elle ne tue pas une guérilla et les groupes paramilitaires. Imaginez, le premier combat que j'avais, c'était dix gars contre une contre-Urabeños de 30 et nous avons tué 25 hommes.Je pense que 500 gars a dû mourir. Cette fois-ci de 100 hommes sont morts que de les combattre, car alors venu de l'aviation armée, et nous ne nous donne pas conduire.Soudain, ce fut une erreur, parce que l'armée avait acheté Arroyave. Aviation ne les regardait et les frapper. C'était les premiers combats en 2003, à San Martin. Les derniers combats était en Casanare. ?CollaborationDans la plupart des gens, nous avons travaillé avec l'armée: que j'ai rencontré à Casanare, dans Tauramena, Monterrey, et le Meta, dans Lopez, la police, et Mapiripán.Chez ces personnes, nous avons travaillé avec la loi. La zone de Monterrey et Tauramena l'armée n'a pas, parce qu'il n'a jamais combattu aux côtés des guérilleros là-bas. Quand le combat avec l'armée n'a pas mis la main Urabá. Il était toujours du même côté et la police.Vous marchez dans un village, une 15, 20, 30 paramilitaires, que vous regardez les ligues.Chacun à sa place. Ils sont entrés dans les combats. Environ trois fois dans Mapiripán venu nous soutenir là-bas, et nous les aidons aussi parce que les guérilleros avaient pris la berraca.Que toujours une fréquence de l'autre, et discussion radio. On se retire des troupes d'une sorte, que les soldats ne le regardez pas et ils viennent. Une marche arrière et ils sont entrés.Pas plusJ'ai parlé avec Don Hector, j'ai dit que je ne voulais pas travailler plus fort, laissez-moi faire ma vie, quand civile incapable de me soutenir pour les armes. La dernière fois que j'ai regardé cet homme était en 2005. La police a failli me tuer à ce moment-là. Nous avons ouvert trois. Vers 14h30, nous avons entendu un camion. Nous avons passé la nuit à Santa coincée dans le drain. Le lendemain, le même. Et nous y sommes retournés pour mettre un tuyau de descente. Nous sommes allés à Casanare. Saint remède, je ne vais pas pour ramasser une arme à feu. Je les ai tués, je ne travaille pas plus.

Colombia: "I met the evil"

Manuscript in
http://www.semana.com/nacion/conoci-maldad/171934-3.aspx 
Machine translation with http://translate.google.es

SEMANA published the testimony of a veteran who has the incredible crueltywith which Hector Buitrago and his sons, Martin Llanos and Knight, put together one of the largest in the country's paramilitary groups. Recruits were forced to 'peck' bodies and killed them in practice.
Saturday February 11, 2012


I was born in Puerto Gaitan, Meta, in 1985. I grew up doing farm work. I love animals. The city almost do not like. When I was 7 I went to school and at 9 I left. I could never catch up.When I was about 15 I became a cowboy. Until then I had never seen violence.

I started when I went to see her arms and knew evil. I was 16. I had never desired it. But one look to another with a gun and says, "Look how smooth win silver and look how I have to work to me." At last I decided and went, thinking that the work was more gentle, a good life, and only clean rifle out there. But when training began, things were very different from what I imagined.In the course mine were 220, including 15 women. Many people were crying because they had been brought in overnight. Casanare taken as 150, mostly by force. After that course was when the organization began to grow in Meta, because when I arrived, there were only 180 men of Buitrago. Buitrago was the dad, Don Hector, and two sons, Martin (Llanos) and Horse. As early as two or three years could come to have about 5,000 men. I say this because when I became commander of counterinsurgency, met us at 100 or 200 commanders and second in command and a counterinsurgency is 40 men. But just as I was entering people, was dying.TrainingIn the training that most caught my attention was that killed the course. It lasted a month. It was at The Stumble, on the side of St. Martin. One would Boolean much lead. If you did not run him killed. Two peladitos flies were asleep and killed them. One was 17 and 25. We had to run in zigzag in an obstacle course and we shoot up.That was to begin four days of instruction. It was terrifying. All I knew I was not coming home. When one is going to go blind, do not get advice from anyone, and when he thinks different is there but can not get out.In training a total of about 15 died. To a Chinese was killed in a river. It was bare I had a very good performance, and decent. The commanders wanted to sleep with her and she told the alias Commander 800 that she did not come to bed with each other. He said: "There'll see." She stood and left. The next day we played 'pasopista' (obstacle course).When she was passing the manila balance on the river, he fell. The commander ordered her to kill because it did not exercise.Others were killed because they served. People who came with a foot fucked and could not boliar equipment, for example. To these people the arrumaban on a ranch to cook, telling them that they were going to retreat and was a lie, the iban iban pulling and killing.There was a gentleman of 40 who had a bad leg. And one day they called, they would kill a cow. And the cow was him.In other courses, he began to grow the organization, one looked one day that took a small group of ten boys all supposedly skinny for a workout and did not return three or four.A lot of the pecking order not to open a large hole. I never pique anyone. Which is paler in that it touches. The first thing that stung my course I came to women. I touched his arm arm chop. Some were thrown to faint. But there was not whether wanted or not. They all play or do not die. The same instructor taught that military. Killed on the spot where one would say "remove an arm," "Take one leg", she took off with Cleaver, were taking off the bones and throwing them into the river and others were buried. The arm he departed into two partsAt the time he runs at you as a chill through the body, but the pod is that it will not send one because it is harder than one would touch it. Because if you see others do, done. The first time we were there watching all four peeled chicoteando. All silent, because nobody can say anything. Some watched because they were not printing. But the incredible thing is the beginning, because after going back as very common. And one takes it as if despresando a cow. The only thing you think after you have not kill you.Some courses also got to try them human flesh. In mine no. I tried it and then out of curiosity. A commander who worked with us said, bring a piece of meat to try. The boy had been killed because he had been insubordinate to a commander. I ate and tasted normal.This is fried. After that I did not see that.That sometimes turned a very strange recocha. Also, recocha, began to take blood. Just cut to the people and streams of blood and put out his hand and took it."The craziness'For all these deaths, began a bowling very boar. People like that they got the devil and started messing up. They threw themselves against trees to kill and when they awoke, asked "what did happen?" Did not remember anything. As souls that are left of those bodies, which are fired and those spirits are hovering. And that was what got them to people. I panicked because I thought that only existed on TV when you look fantasies, but here one sees with his own eyes.The last time I looked that was in the Casanare, which happened to three old. It was in 2004, I started at six in the afternoon until 12 at night and had to tie them and throw them to a stream of cold water. There they took away the craziness. First they fainted, and when raised, was like a horror and a running back until they fell again, and when they returned asking themselves what had happened. Let go laugh like a man. I had to take a full week taking care of eight women. Never killed any but broke down a lot.And after that was common. When someone gave him said, "Go, tie him up, and when removing the craziness it loose and ready."ChildrenThere was rarely spoken. You could not talk because it was dissociated. Only one wondering why he had come. A colleague of 14 years told me that he had come because he liked guns. Others had trouble with the law or did not have weapons work and sought to get money for the family. And there were many who were brought about recruiters misled or bad. Those recruiters were paid $ 200,000 for each Chinese brought. They said they would work on a farm or put up with hunger convinced it easy on the street. There were some children who sold candy in the center of Bogota and had brought. When they got there they realized. They sat to mourn. After being a free people to be under control, that is very hard.The least that I had was 13 years. A prominent Chinese, because the bare little more than the old warrior, is ready to kill anyone, more practical for fighting, although it lacks skill soon because it is a person who has not seen anything in the world. Although he had recruited, most children I met there enjoyed the war.CocaWhen we finished the training and swear and throw a flag to the counterinsurgency. I had to do good things and bad. Tired in my life things changed, the mentality will change much. I was in a regime in which what he said he had to. Today someone raises his voice or is going to push around, one is not going to leave, because the mentality of one is over as another limit.The commander reported to employers, Don Hector and horse, the other his son. Because Martin sent in Casanare and Meta Knight sent in with dad.The motto is to fight, clean area, put the civilian people next to us, and had not infiltrated by the guerrillas in areas where we were. But after the cocaine was ideal, and that we care about that. "For a Colombia free" (slogan of self-defense), but after the cocaine was ideal.We were in Mapiripán, Meta, in the Cooperative. From there we played pa'lante the fight with the guerrillas. One that is caring for the base, the purchase of the same organization and there is spent to process and removed. One fight against the guerrillas, but always cares for the coca-growing area. We played out shipments. The counter is the fight to defend the area. You realize what drew the people. Came a truck carrying bananas and five bags of silver and Chinese escort is that while buying cocaine.The controlWhen he was already 17, and spent seven months in the organization, I got a command of a squad (was ten). I had to get people 40 years and looked at you like a pie. At first I did have my prices by the pod. For one so young and older people send you. You when commander thinks how the fight, because it traumatizes a little while you take the shot, but the rest is sent, so and so bring water, bring food. A commander does not work, just wait for the red lead. Bringing food to an old one. There are old men who were in jail, because that is maluco because a culicagado sending.Physically did not train. He gained weight. But at the time of the operations was again weak, because endures hungry.The warFight, fight, I have ever put his face that was like in April 2002: the hook, which were hard fights, this time we killed three Chinese, and seven wounded, and there was nothing guerrillas. The fight still lasted all day, one here and one there, pump after pump, cylinders, grenades he throws a guerrilla. We were doing when we rush by operating with them and we lasted about four days fighting. The hook of the Cooperative is down. Then we killed and four more, and thereafter only injured people because we withdrew. We saw very harassed because over there were many guerrillas. When fighting an entire afternoon as dry powder to a whole.That site was important because there will go down, had tired of coca is take the land and the sites where the drug, because that's where the money goes, he fought for that matter, and that the guerrillas out there was very cumulative.In the four years I was in the arms of this size as I had four fights, having these two, but hard drives, for short fights were about ten. Those were fighting against the guerrillas, who were until 2003 and until June.Then they started fighting against the Centaurs (Centaurs Bloc, Miguel Arroyave, with which the AUC of Casanare fought a bloody war). Urabeños told them they were of Uraba.That fight broke out, as far as people speak, was for power: the other land asked Don Hector, and coca. That Arroyave had ties to John 40, the guerrilla (Front 43 of FARC in Guaviare). Martin had about four meetings with the man and the man would not give in. That was in 2003 and could not fix and declared war. So many people died and nothing was done.The last fight was like in 2005, in July. Were 18 months of the war harder. A war between the paramilitaries and drug traffickers amazing. It does not kill a guerrilla and paramilitary groups. Imagine, the first fight I had were ten guys against a counter-Urabeños of 30 and we killed 25 guys.I think 500 guys had to die. This time of 100 men died that fight them, because then came the Army aviation, and we did not give us lead. Suddenly it was a mistake, because the Army had purchased Arroyave. Aviation only looked at them and hit them. That was the first fights in 2003, in San Martin. The latest fighting was in Casanare. ?CollaborationIn most of the people we worked with the Army: that I met in Casanare, in Tauramena, Monterrey, and the Meta, in Lopez, the police, and Mapiripán. In these people we worked with the law. The area of ​​Monterrey and Tauramena the Army did not, because he never fought with the guerrillas there. When was the fight with the Army did not put Urabá hand.He was always the same side and the police. You walk into a village, any 15, 20, 30 paramilitaries, that you look at leagues. Each one in its place. They entered the fighting.About three times in Mapiripán came to support us there, and we also help them because the guerrillas had taken the berraca.As always have a frequency of one another, and radio talk. One withdraws the troops of a sort, that the soldiers did not look at it and they come. One backed down and they entered.No moreI spoke with Don Hector, I said I did not want to work harder, let me make my life, when civil unable to back me for weapons. The last time I looked at that man was in 2005. The police almost killed me at that time. We opened three. At about 2:30 pm, we heard a truck.We spent the night santa stuck in the drain. The next day the same. And we went back to put a pipe down. We went to Casanare. Holy remedy, I'm not going to pick up a gun. I killed them, I do not work more.